#1 - Conversation avec le vivant by Ruinart
Persuadée que l’art a le pouvoir de transformer, de connecter et d’éclairer, la Maison Ruinart confie chaque année depuis 2008 la réinterprétation artistique de son patrimoine à des artistes contemporains de renom.
Cette année, à l’occasion de l’inauguration de son pavillon à Reims, la Maison Ruinart a vu les choses en grand et a laissé carte blanche à 6 artistes du monde entier pour une "Conversation avec le vivant".
Parmi eux, Andrea Bowers, plasticienne, qui conjugue art et engagement, Thijs Biersteker dont les créations se fondent sur des données scientifiques, Marcus Coates impliqué à créer des nouveaux rapports au monde naturel, Pascale Marthine Tayou qui fait apparaître l’esthétisme là où on ne l’attend pas, Henrique Oliveira et ses sculptures singulières mêlant le végétal et l’organique et Tomoko Sauvage, artiste inspirée par la formation et la transparence des bulles… Leurs propositions artistiques font échos aux valeurs de la Maison et interpellent la société sur le changement climatique.
À partir d’octobre 2024, les œuvres de ces artistes seront exposées au sein du Jardin des Artistes à Reims. Avec « Conversations avec le vivant », la Maison Ruinart ne se contente pas de sponsoriser un événement artistique de plus. Elle veut initier un mouvement, une réflexion profonde sur notre relation avec la planète. Plus d’infos : https://www.ruinart.com/fr-fr/conversationsaveclevivant.html#
#2 - Le Champagne De Venoge vous invite à son bal masqué royal
Le 4 mai prochain, la Maison De Venoge organisera une soirée enchanteresse au salon Degerman à Reims. Au programme : tapis rouge, projecteurs, photographes, danseurs, traiteurs, performeurs, DJs et artistes exceptionnels se réuniront pour offrir aux convives un spectacle magique.
Chaque invité aura le privilège de recevoir un coffret contenant une invitation officielle, un masque et une broche à arborer le jour J. Les places sont limitées, alors réservez votre billet dès maintenant pour garantir votre accès à cette soirée qui s'annonce grandiose !
#3 - Le mot Champagne désormais protégé et reconnu comme notoire en Chine !
Déjà reconnue en 2013 par la Chine, l’appellation Champagne a très récemment obtenu le statut de "nom notoire", ce qui lui offre une protection encore plus forte. Une première pour la Chine. Désormais, l’encadrement de l’utilisation du mot “Champagne” ne se limite plus aux vins, mais à l’ensemble des produits et des services en caractère chinois ou latins. Exit les glaces, les bonbons ou les parfums au Champagne qui profitaient de la notoriété du vin effervescent le plus connu au monde. Il s’agit là d’une belle victoire pour le Comité Champagne, dont la mission est de valoriser et de protéger fermement le Champagne et son nom, en France et dans le monde.
#4 - Nicolas Feuillatte sort un mini-format de bouteille pour un maximum de plaisir
20cl ! C’est LE nouveau format branché et nomade par excellence. Le quart de Nicolas Feuillatte illustre complétement l’esprit moderne et exubérant de la marque. Disponible dans sa version Brut, ce format est accompagné d’un accessoire pratique et chic : la dragonne One Fo(u)r.
Ces flacons en Brut et en Rosé sont disponibles chez les cavistes et dans les boutiques Nicolas Feuillatte à Paris et Chouilly. Une idée ingénieuse qui invite à mettre de l’extra dans l'ordinaire.
#5 - Vers une révision de l’aire d’appellation Champagne en 2026 ?
“Il n’est Champagne que de la Champagne”. Vous avez forcément déjà entendue cette célèbre phrase. Mais que veut-elle dire exactement ?
Depuis 1927, l’aire de production champenoise est juridiquement délimitée. Ses 34 000 ha répartis sur 319 communes et quatre départements (Aisne, Marne, Aube, Haute-Marne) permettent de produire chaque année le célèbre vin de Champagne.
Pour répondre à la demande mondiale croissante tout en prenant en compte les conséquences du changement climatique, le SGV mène depuis de nombreuses années un travail de concertation avec la commission des experts nommés par l’Institut National de l'Origine et de la Qualité (INAO) pour déterminer les nouvelles parcelles qui pourraient entrer dans l'aire de production champenoise.
Le projet devrait être présenté en 2026 et finalisé d’ici 2029, le temps de pouvoir statuer sur les éventuels recours.
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